Un homme de 41 ans pourrait être accusé de conduite avec les capacités affaiblies par la drogue à la suite d’une interception survenue le samedi 9 janvier vers 16 h au pont Larocque.
Lors de l’interception, les policiers ont eu des soupçons sur le conducteur. Un agent évaluateur spécialement formé pour détecter la conduite sous l’effet de substances a été demandé sur place pour effectuer une évaluation.
Le conducteur a été amené au poste de la Sûreté du Québec de la MRC de Beauharnois-Salaberry afin de se soumettre à devers tests. Ingrid Asselin, porte-parole à la SQ explique qu’il s’agit d’un procédé complexe.
«Il y a des épreuves de coordination qui sont faites, mentionne-t-elle, sans préciser la nature exacte de celles-ci. Par la suite, la pulsation cardiaque et la tension artérielle sont prises. Si ces étapes laissent croire que la personne interceptée est sous l’influence de la drogue, un échantillon d’urine est exigé.»
Le résultat du test d’urine est connu rapidement. «L’agent est en mesure de savoir quelle est la drogue qui a été consommée. Par la suite, une sommation à comparaître est donnée au conducteur fautif», informe Mme Asselin.
Notons finalement que la sentence pour un accusé reconnu coupable de ce genre d’infraction est la même que pour la conduite automobile avec les facultés affaiblies par l’alcool. Soit, l’interdiction de conduire un véhicule automobile au Canada pour une période de 12 mois.
