ÉLECTIONS MUNICIPALES. Fort de son expérience acquise au cours du présent mandat, Patrick Rancourt souhaite assurer une stabilité et une belle continuité au sein du prochain conseil municipal à Salaberry-de-Valleyfield.

Depuis le 1er septembre dernier, le candidat a consacré plus de 90 heures de porte-à-porte afin de rencontrer les citoyens du district Jules-Léger (numéro 7). Le temps clément lui a permis de visiter la grande majorité des gens pour discuter avec eux des enjeux qui les préoccupent, mais surtout de connaître leurs attentes pour le prochain terme.

M. Rancourt souhaite remercier les gens pour leur accueil généreux et convivial. «En plus d’écouter ce que vous aviez à dire, j’ai pris le temps de répondre à vos nombreuses questions concernant notre ville. C’est un tel honneur d’avoir pu représenter mes concitoyens et concitoyennes au conseil de ville que je me dois de les remercier de ce privilège» dit-il.

De plus, il exprime sa satisfaction d’avoir rencontré un très grand nombre de nouvelles familles (de tous âges) qui se sont établies dans son quartier à Salaberry-de-Valleyfield. Il leur souhaite encore une fois la bienvenue et les remercie d’avoir fait ce choix. «Il fait bon vivre ici, soyons-en fiers» affirme-t-il

Fier du travail accompli lors de son premier mandat,  Patrick Rancourt assure d’avoir la même détermination et la même fougue à défendre les préoccupations des résidents et à rendre à terme les objectifs qu’il leur a présentés.

«Soyez convaincus que votre soutien lors du scrutin du 5 novembre  saura alimenter mon désir de bonifier davantage la qualité de vie dans le quartier Jules-Léger. Également, je vous assure de contribuer pleinement au développement socio-économique et culturel de la ville, tout en poursuivant une saine gestion des fonds publics», ajoute-t-il.

Pour terminer, il tient à remercier les électeurs qui prendront de leur précieux temps afin de signifier leur confiance à son égard car il certifie que grâce à eux, tout devient possible. «Ensemble, nous irons encore plus loin», de conclure M. Rancourt.