Mardi dernier chez le notaire, François Tardif a eu la surprise d’apprendre qu’on lui exigeait le paiement d’une médaille de chien afin de pouvoir activer la vente de sa résidence rue Vernier à Les Coteaux.

Non seulement les locataires étaient en défaut de paiement pour le loyer, mais ils n’avaient pas réglé la note avec la municipalité de la dernière année pour leur animal à quatre pattes. Dans l’acte de vente notarié, un déboursé était exigé afin de procéder à la transaction immobilière.

«Je n’en reviens pas, a dit M. Tardif, document à l’appui. J’ai dû payer 15,10 $ pour une médaille de chien pour ne pas retarder la vente de la maison. »

Ce dernier n’a pas l’intention de contester la situation. Il voulait seulement dénoncer la situation qu’il juge aberrante.

François Tardif est seulement heureux de conclure la vente lui qui, au fil des ans, a eu maille à partir avec la plupart des locataires. La résidence a aussi été endommagée en 2011 par l’incendie de la résidence qui se trouvait à proximité jadis.