Modeling planétaire et maintenant le cinéma

Milan, Paris, Munich, New York, Barcelone, Madrid, Lisbonne, Séville, Cape Town en Afrique du Sud… Samuel Trépanier mène une vie planétaire depuis qu’il a fait ses premiers «shootings» en tant que mannequin professionnel en 2011.

Sa carrière a franchi des pas de géant et le jeune homme natif de Sainte-Barbe survole le globe à bord d’un avion près d’une centaine de fois par année. Devenu depuis 3 ans la «muse» de la compagnie Olymp, basée en Allemagne et compétiteur direct de la marque «Hugo Boss», Trépanier a également été «modèle» pour le fameux magasin Bloomingdales à New York City. Depuis quelques semaines, il apparaît dans tous les «Simons» du Québec.

«Techniquement, j’habite New York. C’est dans la métropole américaine que je décroche de nombreux contrats. Je participe souvent à des « castings » alors que je n’ai plus besoin de le faire en Allemagne. Je vais à Munich quatre fois par année pour Olymp», informe le mannequin de 28 ans, qui a fait l’acquisition d’une maison en banlieue de Montréal à Saint-Isidore «afin d’être prêt de l’aéroport».

A New York pour Bloomingdales, Samuel Trépanier a côtoyé des mannequins féminins de grande renommée et des photographes talentueux connus à travers le monde. Parmi les autres entreprises qui ont fait appel à ses services, on retrouve Renault (pub télé), Charles Vogele, Madame Figaro Paris, GQ Russie, John Galiano (sous-vêtements), Max magazine Milan, Just Jeans, La Redoute, Majestik (lookbook) et Men’s Health magazine, entre autres.

Le cinéma

En plus d’être en demande dans le domaine du «modeling», Samuel Trépanier a récemment fait ses débuts au cinéma en campant un rôle dans le court métrage «Reality +» de Coralie Fargeat. Le film futuriste de 22 minutes tourné à Paris relate l’histoire d’un homme qui peut modifier son apparence 12 heures sur 24 grâce à une puce au cerveau. «Reality +» a été présenté à Cannes et court encore les festivals dont le «International audience award» au shnit festival à New York.

Samuel avait par ailleurs un rôle en poche pour le film «3 days to kill» de Luc Besson et malheureusement, son agence du temps n’avait pas préparé les papiers correctement pour le tournage et il n’a pu se présenter sur le plateau, faute de visa de travail valide.

«Le cinéma est une avenue qui m’intéresse. J’aimerais en faire davantage mais on ne peut faire tout», de signifier le Barberivain de souche, qui songe tout de même à se lancer en affaires avec l’ouverture potentielle d’un centre d’escalade à Montréal.

Chose certaine, Samuel Trépanier incarne vraiment la carrière «dernier cri» d’un jeune homme vivant au diapason des technologies contemporaines. Chez lui, il n’y a pas de téléviseur et tout passe par le web. «Avec Netflix, c’est facile. Tu peux tout voir en tout temps», a-t-il indiqué..

Les gens qui veulent suivre Samuel Trépanier en temps réel peuvent le rejoindre sur son site web au www.SamuelTrepanier.com,

Pour regarder le film Reality + et en faire sa propre opinion, voici un lien privé : https://vimeo.com/129441603 password : Reality_ENG_2015. La bande annonce : https://vimeo.com/110245365