Politique
Changement de garde aux ressources humaines de la Ville
le vendredi 23 août 2019
Modifié à 9 h 28 min le 23 août 2019
Après les récentes nominations à la direction générale et au poste de greffier, la Ville de Salaberry-de-Valleyfield a procédé à un changement de la garde à sa direction des ressources humaines en procédant à la nomination de Louise Bourassa.
Mme Bourassa succède à Diane Benoit qui était en poste depuis 41 ans et dont la retraite a été entérinée lors de l’assemblée de conseil du 20 août. Le maire Miguel Lemieux et plusieurs conseillers ont d’ailleurs adressé de chaleureux remerciements à son égard.
Louise Bourassa agissait pour sa part à titre de coordonnatrice du Service des ressources humaines de la Ville depuis les 17 dernières années. Elle avait auparavant travaillé à la Ville de Buckingham en Outaouais ainsi que pour Ville Saint-Laurent, avant de poursuivre sa carrière à Salaberry-de-Valleyfield. Elle entrera en fonction le 1er novembre mais assurera l’intérim dès le 8 septembre.
Un poste de conseillère en ressources humaines a aussi été créé au sein du service. Il sera occupé par Laurence Reid Langevin.
Odeurs de cannabis
Un citoyen qui habite dans les anciennes maisons de la Montreal Cotton, boulevard du Havre, s’est présenté au conseil pour demander une intervention de la Ville afin d’y interdire la consommation de cannabis. Il se disait incommodé par l’odeur du cannabis consommé par ses voisins et qui «passe à travers les murs.» Le maire a dit croire que la Ville ne pouvait légiférer à cet égard sans atteinte aux droits de la personne.
Vente d’un terrain dans l’écoparc
Le conseil a entériné la vente de deux lots situés dans l’écoparc du secteur Saint-Timothée à l’entreprise Gestion Marsan Dubois pour près de 195 000 $ L’entreprise déménagera ses installations de Dorval pour s’établir à Valleyfield.
Emprunt de 36 M$
Un règlement d’emprunt de 36 M$ a été adopté par le conseil en lien avec les travaux d’agrandissement du port de Valleyfield. «C’est la Ville qui emprunte mais c’est le port qui paie», a précisé le maire. Le conseiller Jacques Smith a rappelé que les deux tiers de ce montant étaient assumés par les gouvernements de Québec et d’Ottawa.
Écocentre municipal
Le conseil a autorisé la prolongation d’un an de l’entente avec la Fondation de la Banque alimentaire du Suroît (Moisson Sud-Ouest) pour la gestion et l’exploitation de l’écocentre. Celle-ci sera en vigueur jusqu’au 30 novembre 2020.
Un contrat de 3 ans a aussi été octroyé à Récupération Mario Hart pour la fourniture de conteneurs, transport, valorisation et disposition des matières de l’écocentre pour la somme de 1 416 000 $.Le recyclage et la valorisation du bois ont été confiés aux Industries JPB pour la somme de 451 000 $.