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Vaudreuil-Soulanges
Guignolée des médias : près de 1,8 M $ en 20 ans
le lundi 05 février 2024
Modifié à 9 h 10 min le 07 février 2024
Moisson Sud-Ouest a annoncé d’excellents résultats pour sa récente Guignolée des médias. Le fruit du travail colossal qui se déroule depuis 20 ans dans la région.
Jeudi, la banque alimentaire qui dessert 80 organismes du Suroît a remercié des membres du comité organisateur qui contribuent à la collecte depuis ses débuts. C’est le cas de Nathalie Descôteaux de NousTV Valleyfield qui a répondu présente au premier coup de fil lancé par Alain Gaulin à l’époque. «J’y crois depuis le jour moins 1, a-t-elle confié. Quand Alain m’a appelée, ça été une rencontre déterminante.»
Elle est devenue émotive au moment de parler de Diane Dumont et André Mooney, respectivement directrice du Saint-François et du Soleil de Valleyfield, présents à la première heure. Désormais partis vers un monde semble-t-il meilleur, ils peuvent compter sur un digne successeur en Stéphane Brais. «J’ai le plaisir depuis 11 ans de reprendre le flambeau, a dit l’ambassadeur chez Gravité Média/Journal Saint-François. Onze années de plaisir avec le but d’aider ceux qui ont faim.»
La contribution de l’hebdomadaire a pris de l’ampleur dans la dernière année avec la mise en place d’enchères.
Roxanne Guérin, directrice de la station Max 103, a parlé de l’union entre les médias lors de cette journée spéciale pour la communauté.
Marie-Andrée Prévost, président de Viva Média, a quant a parlé de la capacité des médias à rassembler les gens autour d’une même cause. Le tout, alors qu’une crise accable les médias.
CEZinc, industrie qui s’est impliquée dès le départ, a également vu sa contribution reconnue par Moisson Sud-Ouest lors du 5 à 7 qui avait lieu à la Microbrasserie du Vieux Canal.
De plus en plus haut
La plus récente Guignolée des médias a permis de récolter plus de 230 000 $. En 20 ans, c’est 1,799 M $ qui ont permis d’aider les gens vulnérables qui ont faim.
Les premières collectes n’avaient pas la même ampleur. Alain Gaulin, instigateur de cette aventure, a rappelé qu’au départ, les montants étaient plus petits. Néanmoins, déjà à l’époque, les bénévoles répondaient présents par centaine déjà.
Steve Hickey a lu un mot au nom de la députée de Salaberry-Suroît, Claude DeBellefeuille. L’attaché politique a été le premier directeur général de Moisson Sud-Ouest il y a près de 35 ans. «Dans le temps, il y avait la campagne de panier de Noël avec les épiceries, a-t-il remémoré. On est loin de la Guignolée d’aujourd’hui.»
Le récent bilan faim fait état des augmentations d’aide pour des dépannages alimentaires. Pour la conseillère de Salaberry-de-Valleyfield, France Chenail, voir les médias et la communauté se serrer les coudes dans un esprit de solidarité pour la cause représente quelque chose de beau.
Des propos corroborés par le directeur général de Moisson Sud-Ouest, Stéphane Spisak. «Tout ça serait impossible dans le comité organisateur et les bénévoles, a-t-il reconnu. L’argent amassé cette année va nous permettre d’aider à nourrir encore plus de gens.»
Jeudi, la banque alimentaire qui dessert 80 organismes du Suroît a remercié des membres du comité organisateur qui contribuent à la collecte depuis ses débuts. C’est le cas de Nathalie Descôteaux de NousTV Valleyfield qui a répondu présente au premier coup de fil lancé par Alain Gaulin à l’époque. «J’y crois depuis le jour moins 1, a-t-elle confié. Quand Alain m’a appelée, ça été une rencontre déterminante.»
Elle est devenue émotive au moment de parler de Diane Dumont et André Mooney, respectivement directrice du Saint-François et du Soleil de Valleyfield, présents à la première heure. Désormais partis vers un monde semble-t-il meilleur, ils peuvent compter sur un digne successeur en Stéphane Brais. «J’ai le plaisir depuis 11 ans de reprendre le flambeau, a dit l’ambassadeur chez Gravité Média/Journal Saint-François. Onze années de plaisir avec le but d’aider ceux qui ont faim.»
La contribution de l’hebdomadaire a pris de l’ampleur dans la dernière année avec la mise en place d’enchères.
Roxanne Guérin, directrice de la station Max 103, a parlé de l’union entre les médias lors de cette journée spéciale pour la communauté.
Marie-Andrée Prévost, président de Viva Média, a quant a parlé de la capacité des médias à rassembler les gens autour d’une même cause. Le tout, alors qu’une crise accable les médias.
CEZinc, industrie qui s’est impliquée dès le départ, a également vu sa contribution reconnue par Moisson Sud-Ouest lors du 5 à 7 qui avait lieu à la Microbrasserie du Vieux Canal.
De plus en plus haut
La plus récente Guignolée des médias a permis de récolter plus de 230 000 $. En 20 ans, c’est 1,799 M $ qui ont permis d’aider les gens vulnérables qui ont faim.
Les premières collectes n’avaient pas la même ampleur. Alain Gaulin, instigateur de cette aventure, a rappelé qu’au départ, les montants étaient plus petits. Néanmoins, déjà à l’époque, les bénévoles répondaient présents par centaine déjà.
Steve Hickey a lu un mot au nom de la députée de Salaberry-Suroît, Claude DeBellefeuille. L’attaché politique a été le premier directeur général de Moisson Sud-Ouest il y a près de 35 ans. «Dans le temps, il y avait la campagne de panier de Noël avec les épiceries, a-t-il remémoré. On est loin de la Guignolée d’aujourd’hui.»
Le récent bilan faim fait état des augmentations d’aide pour des dépannages alimentaires. Pour la conseillère de Salaberry-de-Valleyfield, France Chenail, voir les médias et la communauté se serrer les coudes dans un esprit de solidarité pour la cause représente quelque chose de beau.
Des propos corroborés par le directeur général de Moisson Sud-Ouest, Stéphane Spisak. «Tout ça serait impossible dans le comité organisateur et les bénévoles, a-t-il reconnu. L’argent amassé cette année va nous permettre d’aider à nourrir encore plus de gens.»