C’est au terme de 79 ans d’histoires que le Camp Bosco met un terme à ses activités. Un litige opposant Coteau-du-Lac et Salaberry-de-Valleyfield pourrait être le responsable de ce qui jadis était considéré comme étant le camp de vacances familiales de prédilection dans la région.
Les difficultés financières s’élèveraient à plusieurs milliers de dollars et le retrait du décret que devait présenter une députée à l’Assemblée nationale empêche la Ville de Salaberry-de-Valleyfield d’investir dans le Camp Bosco.
En septembre dernier, le maire de Salaberry-de-Valleyfield, Denis Lapointe confirmait que le dossier du Camp Bosco soit dans le cahier au parlement à Québec avant la fin décembre afin de préparer l’année 2017.
«On voulait s’entendre avec Coteau-du-Lac pour récupérer le site. Les administrations se sont succédées et leur vision est différente. Notre approche est communautaire et sociale alors que de leur côté, il a été question de condos. À Coteau-du-Lac, le Camp Bosco ce n’est pas leur tasse de thé», informait le maire campivallensien.
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