Le Journal a rassemblé les déclarations qui ont fait les manchettes sur la scène sportive régionale au cours de l’année 2015. Parmi les plus lues, il faut mentionner la crise qui a secoué les Braves de Valleyfield à la mi-septembre.

:«Les joueurs ont voulu que je revienne, ils ont mis de la pression. Je suis content de reprendre ma place derrière le banc.»   – Jean-Philippe Hamel, entraîneur des Braves, 4 jours après avoir déserté l’équipe.

«C’est un incident survenu à l’interne et qui aurait dû rester à l’interne. En 2015, avec les réseaux sociaux, les nouvelles vont trop vite.»   – Stéphane Scotto, directeur gérant des Braves

«Cody Petawabano, Alex Anderson et Samuel Gagnon sont partis. Nous avons passé la gratte.»  – Jean-Philippe Hamel

«Je dois prouver que j’ai ma place parmi les 12 premiers attaquants de l’Avalanche.»   –  Patrick Bordeleau

«Je suis au ciel (I am in heaven). Les Régates de Valleyfield sont un événement incomparable. C’est la mecque du sport motonautique.»        –  Paul Davison, amateur australien et ex-pilote en visite aux 77e Régates

«Mon cou a craqué et j’ai vu des étoiles. J’avais tout sacrifié pour réaliser mon rêve olympique et je savais que c’était terminé. J’éprouvais de sérieuses difficultés de concentration. J’étais comme une zombie.»  –  Laurie Kingsbury, hockeyeuse victime d’une sévère commotion cérébrale.

«Je ne sais pas ce que Bert (Henderson) voulait prouver mais il a privé Andrew (Tate) d’une meilleure chance de gagner la finale.»   –  Brandon Kennedy, vainqueur en Grand Prix aux 77e Régates

«J’avais du rattrapage à faire et je n’ai jamais lâché dans le tournant. Il était trop tard et j’ai « flippé ».»    –  André Bergeron, conducteur de bateau hors-bord.

«Dieu est bon. Je n’ai pas été blessé et les dommages ne sont pas trop importants.»   –  Jean Théorêt, impliqué dans un accident dans la classe Unlimited, 9 ans après sa conquête de la Gold Cup aux Régates de Détroit.