culture

Marie-Michèle Emond laisse sa trace avec ses pinceaux

le samedi 18 mars 2017
Modifié à 0 h 00 min le 18 mars 2017
Par Steve Sauvé

ssauve@gravitemedia.com

L’artiste peintre Marie-Michèle Emond a vécu un moment d’une grande intensité, le jeudi 16 mars. Dans le cadre du projet "TRACE" de la Vallée-du-Haut-Saint-Laurent, la dame de 32 ans a présenté son premier vernissage à la Maison Trestler à Vaudreuil-Dorion.

Pour la Campivallensienne, cette participation à la 6e édition du projet "TRACE"  était une occasion unique d’acquérir une certaine notoriété et bien évidemment une expérience inoubliable.

«Je suis très fière de ma participation au projet "TRACE", souligne Mme Emond. C’est pour la relève artistique. C’est excellent à mettre dans un CV. Certaines galeries attendent qu’un artiste soit établi avant de l’exposer donc, c’est une bonne façon de se faire voir.»

Mme Emond s’inspire de la nature lorsque vient le temps de créer. Que ce soit un oiseau, une fleur ou bien une vague, celle qui a étudié en arts et lettres au Collège de Valleyfield dit que la peinture lui apporte un sentiment de détente qui lui permet de se recentrer. «Comme la nature, mon art est présent sans faire grand bruit, sans superflu. Il se complète dans sa simplicité et sa douceur. Il existe, tout simplement», écrit-elle sur sa page Facebook.

Lors d’un premier vernissage, les artistes sont habituellement fébriles. Si ce sentiment était présent chez Mme Emond, il a été vite remplacé par les éloges. «J’ai eu d’excellents commentaires, assure celle qui devrait être du Festival des arts de Salaberry-de-Valleyfield l’été prochain. Il y a des bénévoles de la Maison Trestler qui m’ont dit que mon vernissage était leur préféré.»