Nicole Marleau, engagée pour la santé et l’éducation

Depuis sa jeunesse, Nicole Marleau apporte sa contribution au sein de la communauté régionale, notamment dans les secteurs de la santé et de l’éducation. 

Un travail mené en dehors des projecteurs entrepris dès 1995 alors qu’elle a été élue sur le conseil d’administration du CLSC Seigneurie de Beauharnois. Cette implication s’est par la suite poursuivie au sein du conseil d’administration du Centre de Santé et de Services Sociaux (CSSS) du Suroît, dont elle a occupé la présidence durant huit années.

Cette instance regroupait alors l’Hôpital, deux CLSC et deux centres d’hébergement pour personnes âgées.
À ce titre, les combats ont été nombreux, que ce soit pour combler sous-financement chronique et inadapté à la croissance de la région, le Centre Mère-Enfant, ou la reconnaissance du mandat régional de l’Hôpital du Suroît.

Nicole Marleau a aussi contribué aux efforts visant à ce que la réforme de l’ex-ministre Gaétan Barrette reconnaisse trois-sous régions dans la mise en place des centres de santé en Montérégie, dont la Montérégie-Ouest.

Depuis une douzaine d’années, Nicole Marleau consacre ses énergies au sein du Comité des usagers du CISSS de la Montérégie-Ouest, dont elle assume actuellement la présidence. « Notre rôle principal est d’informer les usagers de la santé sur leurs droits ou de les accompagner lorsqu’ils ont des plaintes à formuler face au système.»

Questionnée sur son implication, Nicole Marleau fait valoir la pertinence de la présence féminine au sein du système de santé. « J’ai toujours voulu faire en sorte que les femmes soient reconnues pour le travail, que ce soit comme infirmières ou comme proches aidantes auprès des patients.»

Fondation École Baie Saint-François

L’éducation compte aussi parmi les priorités de Nicole Marleau, qui a été parmi les membres fondateurs de la Fondation de l’École Baie Saint-François, aux côtés de son mari Jacques Smith, Gilles Clément et Gaston Vallée.

« La Fondation préconise les valeurs de persévérance auprès des jeunes de l’école. Parfois, il suffit d’un petit geste, une aide financière ou un projet bien ciblé pour valoriser les jeunes», rappelle-t-elle.

À cet égard, la Fondation dispose d’un fonds de dépannage et contribue à certains projets, comme celui d’une activité de boxe sur l’heure du dîner, qui réunit une vingtaine de participants et leur permet d’évacuer leur trop-plein d’énergie.

La Fondation tiendra d’ailleurs son traditionnel Brunch de la rentrée le dimanche 1er octobre, un événement familial dont on peut obtenir des détails sur sa page Facebook.