Ordonnance de démolition pour un immeuble désaffecté
Un ancien immeuble résidentiel-commercial de la rue Jacques-Cartier est dans la mire des autorités municipales de Salaberry-de-Valleyfield, qui souhaitent sa démolition au terme de nombreuses démêlées avec ses propriétaires.
L'édifice construit en 1876 occupe un terrain d'une superficie de près de 10 000 pieds carrés. On y compte 5 logements et trois locaux commerciaux, tous inoccupés. Pourtant, cet édifice a longtemps accueilli des commerces fort fréquentés, notamment Fourrures Ostiguy, de même que diverses boutiques de vêtements pour hommes ou femmes, de même que des restaurants.
Toutefois, depuis plusieurs années, l'immeuble a requis plusieurs travaux pour des enjeux de sécurité notamment et a fait l'objet de nombreux jugements de cour que les propriétaires n'ont pas respectés, a indiqué le maire Miguel Lemieux à l'assemblée de conseil du 18 mars.
Le conseil a d'ailleurs octroyé un mandat à une firme d'avocats pour faire respecter une ordonnance de démolition émise à l'endroit des propriétaires de l'immeuble.
Basketball au parc Marquette
La Ville projette l'aménagement d'un nouveau terrain de basketball au parc Marquette, dans le quartier Bellerive. Le terrain sera situé à la limite du parc et du terrain de stationnement voisin. Douze entreprises ont déposé une soumission pour ce projet et la plus basse retenue est celle de Construction JP Roy au montant de 767 747 $.
Unités modulaires scolaires
Le conseil a autorisé l'installation d'unités modulaires temporaires aux écoles Élisabeth-Monette, Saint-Joseph-Artisan et Baie-Saint-François. Le maire a dit souhaiter que les demandes du CSSVT pour de nouvelles écoles puissent être autorisées afin de répondre à la croissance démographique actuelle.
Nez rouge change d'adresse
La Ville s'est entendue avec l'organisme Répit le Zéphyr pour la location d'un espace à l'Édifice Jacques-Viau en vue de la prochaine édition d'Opération Nez rouge, du 15 novembre prochain au 6 janvier 2025.
Brigadière à la retraite
Le conseil a accepté la retraite de Diane Mercier, qui agit à titre de brigadière scolaire près de l'école Frédéric-Girard. Celle-ci prendra sa retraite à la fin de l'année scolaire, en juin, après 35 années de service.