VIDÉO - Maison des aînés: les premiers résidents attendus l’été prochain
Les travaux de construction de la Maison des aînés progressent à Salaberry-de-Valleyfield. Une visite du chantier effectuée le vendredi 13 octobre a permis d’apprendre que les premiers résidents pourront emménager à l’été 2024.
Le directeur de chantier de l’entrepreneur SIDCAN, Stéphane Perrier, a mené la visite à laquelle prenaient part le député Claude Reid et le pdg du CISSS Montérégie-Ouest, Philippe Gribauval, de même qu’une vingtaine de personnes.
M. Gribauval a réaffirmé que l’enveloppe budgétaire qui avait déjà été rehaussée à 67 M$ pour ce projet serait respectée. Il a surtout mis l’accent sur le concept de milieux de vie qu’on retrouvera au sein de l’établissement qui accueillera 96 résidents, dont 72 aînés et 24 adultes ayant des besoins spécifiques. Les différents appartements seront réunis par 12 au sein d’une même «maisonnée».
La visite a permis de constater l’avancement des travaux sur les différents étages de l’immeuble. (Photo Journal Saint-François - Mario Pitre)
Ce tour du propriétaire a permis de constater l’avancement des travaux et d’entrevoir les différents aménagements projetés, notamment celui d’un bistrot accessible aux visiteurs, des salles destinées aux proches aidants et des espaces extérieurs aménagés.
Le directeur de chantier a indiqué que la centaine de travailleurs en poste sur le chantier a déjà commencé à compléter l’enveloppe extérieur du bâtiment A (rue Ellice) et poursuivra vers le bâtiment B, pour ensuite entreprendre les travaux intérieurs.
Le complexe inclura aussi un service de garde de 80 places situé du côté de la rue Ellice et doté d’une cour extérieure fermée. Celui-ci sera géré par le CPE La Campinoise, a-t-on appris.
À l’extérieur des bâtiments, on prévoit trois sites de stationnement totalisant 76 places, en plus d'un abri pour vélos. La plantation de 47 arbres et 128 arbustes complètera l’aménagement.
@ST:En phase recrutement
@R:Questionné au sujet de la main-d’œuvre (200 employés) qui sera embauchée dans le futur établissement, Philippe Gribauval a indiqué les démarches de recrutement allaient bon train.
« On veut s’assurer d’avoir complété toute notre main-d’œuvre nécessaire avant d’ouvrir. Le fait qu’on soit dans un établissement tout neuf nous offre une opportunité fantastique de proposer des aménagements flexibles quant aux horaires de travail», dit-il.
Un exercice qui s’annonce périlleux, parallèlement au besoin de main-d’œuvre qu’occasionnera le nouvel hôpital de Vaudreuil-Soulanges.